Je peux comprendre combien cette absence te chagrine. C'est un peu comme perdre un ami. Il m'arrive la même chose quand un oiseau qui a l'habitude de fréquenter mon jardin ne se montre plus. Et même la disparition d'un arbre ou d'un arbuste peut me faire de la peine. C'est pourquoi je ne veux pas me séparer de mon vieil olivier, même s'il est malade...
Chaque année au printemps, la grenouille réapparaissait au jardin. Cette année, elle a disparu.
RépondreSupprimerJe peux comprendre combien cette absence te chagrine. C'est un peu comme perdre un ami. Il m'arrive la même chose quand un oiseau qui a l'habitude de fréquenter mon jardin ne se montre plus. Et même la disparition d'un arbre ou d'un arbuste peut me faire de la peine. C'est pourquoi je ne veux pas me séparer de mon vieil olivier, même s'il est malade...
RépondreSupprimer@ Monika,
RépondreSupprimerJe m'étais habituée à sa sympathique présence, au point de la croire éternelle.
Oui, je sais, rien n'est éternelle. Tout passe. Et c'est ce caractère éphémère de tout ce qui vit qui rend le présent si précieux.
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