la vague a tout englouti loin de leur aire les oiseaux de mer s'ébrouent sur des îlots d'écume grise terre aux contours incertains entre flux et refus le soleil figé
Je n'avais pas décodé le texte dans cette perspective, car tu écris " la vague ", une seule vague, je voyais plutôt un château de sable englouti à marée haute, et l'horizon lointain, courbe.
Je m'aperçois que j'ai fait une erreur : je voulais dire "vimer" (abréviation de "vive mer" = combinaison tempête + marée haute de vives eaux), reponsable de sérieux dégâts.
Belle description d'un beau panorama.
RépondreSupprimer@ Marcel,
RépondreSupprimerBeau, je ne sais pas. Souvenir du raz de marée de l'an passé.
Je n'avais pas décodé le texte dans cette perspective, car tu écris " la vague ", une seule vague, je voyais plutôt un château de sable englouti à marée haute, et l'horizon lointain, courbe.
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RépondreSupprimerJe n'y connais rien en "mer", vivant en pauvre hère dans les forêts marécageuses... (smile)
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RépondreSupprimerJe m'aperçois que j'ai fait une erreur : je voulais dire "vimer" (abréviation de "vive mer" = combinaison tempête + marée haute de vives eaux), reponsable de sérieux dégâts.
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