Une fin tout à fait digne pour le vieux jean. Par contre, l'histoire ne dit pas ce qu'en pensent les poissons. (Toujours ce non-dit dans les haïkus... ! )
Début d'un automne, retour vers le port. Se libérer des vêtements mis pour une nuit enfin finie. Ma vareuse tombe à la baille. La gaffe et trop tard pour la gaffe... Un an après, quasi jour pour jour, même endroit. La vareuse remonte à la surface.
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RépondreSupprimerrecyclage !
@ Marcel,
RépondreSupprimerEt c'est du solide !
Une fin tout à fait digne pour le vieux jean. Par contre, l'histoire ne dit pas ce qu'en pensent les poissons. (Toujours ce non-dit dans les haïkus... ! )
RépondreSupprimerAh, Monika ! Si les poissons pouvaient parler...
RépondreSupprimerDébut d'un automne, retour vers le port. Se libérer des vêtements mis pour une nuit enfin finie. Ma vareuse tombe à la baille. La gaffe et trop tard pour la gaffe...
RépondreSupprimerUn an après, quasi jour pour jour, même endroit. La vareuse remonte à la surface.
une nouvelle carrière à succès
RépondreSupprimerpour un jean
si utile
@ JEA,
RépondreSupprimerUn bon début de haïbun !
@ Mel,
RépondreSupprimerPalourdes, bigorneaux, pétoncles... leur jean, eux aussi !