jeudi 4 mars 2010

brûlées par le sel
tant de sèves printanières
frontières invisibles

terres inondées
au bout de la jetée
un homme immobile - ivre

6 commentaires:

  1. Merci André. Quel cauchemar pour certains !

    RépondreSupprimer
  2. Un cauchemar bientôt terminé pour vous j'espère!
    Amitiés.

    RépondreSupprimer
  3. Sur les conseils d'Evelyne de I segreti della noce j'arrive sur ton blog... et, malgré les événements, j'y trouve sérénité et beauté.

    Je pense, même si j'en suis loin, à toutes ces personnes disparues, celles encore dans la détresse et à leurs maisons, leurs outils de travail détruits et à ces prairies dévastées... Tu le dis avec force.

    RépondreSupprimer
  4. Cette sobriété dans l'expression du malheur et de la souffrance est percutante

    RépondreSupprimer
  5. Anne-Sophie, Ötli, mimik : merci de votre visite et de vos paroles de réconfort. La nature a lancé son grand rappel à l'ordre, il faut l'entendre... il faut que nous tou(te)s l'entendions.

    RépondreSupprimer