mardi 18 mai 2010

traces de chevaux
plus loin
leur odeur

4 commentaires:

  1. J'aime ce haïku très bref - et très évocateur.

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  2. Merci Monika,
    J'aime beaucoup les chevaux. Malheureusement, une fracture de la colonne vertébrale m'en empêchée de pratiquer l'équitation.

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  3. Les cinq poèmes d'hier ( 18 mai 2010 )m'enchantent beaucoup, Danièle. Il me semble que la joie, la beauté, la lumière pénètrent ces haïkus dans une harmonie toute naturelle inspirée par des instants d'une sensibilité rare et extraordinaire!

    la nature danse
    au rythme de la lumière...
    joie de vivre

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  4. @ Keith,
    Merci ! Quand j'ai eu une journée chargée, je me "vide la tête" en observant ce qui est à ma portée et qui est tout simplement fantastique. C'est un comble de dire que la nature est fantastique. En tout cas, elle me porte et, par un effet de contagion sans doute, m'illumine.
    Je ne ferme pas les yeux sur les désastres causés par les humains : je songe par exemple aux flots de pétrole qui se déversent là-bas en mer. Mais là, je reste sans voix.

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