et de velours dans la voix du vent lorsque la marée monte à l'étale, cette séquence du plain-temps, ces chants blessés des oiseaux migrateurs qui sont la plus belle preuve du ciel, cette insulaire dormition d'un angélus qui vous étreint le coeur, ces moments d'âme, de cristal :
tout ce qui fait le fond de l'air.
Dans le ton de tes jolis haikus, de ta photo...merci Danièle!
Même le vent s'intéresse à toi Danièle ! Voilà pourquoi il vient pleurer . Moi,je viens pour rire de joie, de te lire et de découvrir d'autres artistes . Je t'embrasse . Yann
Beaucoup d'élégance et de complicité dans ces haïkus...
RépondreSupprimerMerci, Marcel !
SupprimerLes secrets du vent... Quel beau ciel!
RépondreSupprimerEn ce moment, le ciel et le vent nous en font voir de toutes les couleurs !
Supprimercoucher de soleil
RépondreSupprimerde couleurs pastels et or
tendresse du soir
ciel émouvant et haïkus évocateurs !
Merci, anda !
SupprimerIl pleure de savoir la porte fermée
RépondreSupprimerIl pleure de na ps pouvoir se réchauffer
Il pleure de n'être que du vent...
Bienvenue, Jeanmi !
SupprimerDeux haïkus magnifiques, de saison, dehors et dedans si intimement mêlés.
RépondreSupprimerMerci, Danièle.
Trait d'union - c'est peut-être par ce que tu as un jardin secret, que le vent jaloux pleure sous ta porte ?
RépondreSupprimerAmitié
Tu aurais peut-être bien raison, Yanis. Amitiés.
SupprimerCe bruit d'étoffe sur la mer
RépondreSupprimerde :
Gilles Baudry
Ce bruit d'étoffe sur la mer
et de velours
dans la voix du vent lorsque la marée
monte à l'étale,
cette séquence du plain-temps, ces chants
blessés des oiseaux migrateurs
qui sont la plus belle preuve du ciel,
cette insulaire dormition
d'un angélus qui vous étreint le coeur,
ces moments d'âme, de cristal :
tout ce qui fait le fond de l'air.
Dans le ton de tes jolis haikus, de ta photo...merci Danièle!
Il est superbe, ce poème ! Merci à toi, chère Colo.
SupprimerUn vent d'automne souffle sur tes mots, pour mon plus grand plaisir.
RépondreSupprimerJ'espère qu'il ne soufflera pas autant que l'année dernière, où nous avons connu tempête sur tempête.
SupprimerCe vent de novembre, pleurait-il à chaudes larmes ?
RépondreSupprimerBonne journée Danièle.
Le vent de novembre ne tient pas la route, cette année.
SupprimerBon vent, minik do !
La course folle du temps
RépondreSupprimerattise les nuages.
arbres nus
Supprimerles Champs Élysées inondés
de lumière
Both grand!
Supprimer__I truely enjoyed the "secret garden" haiku... no verbs! _m
Many thanks, Magyar !
Supprimerpourquoi le vent
RépondreSupprimervient-il pleurer sous ma porte ?
je n'y suis pour rien
jardin secret -
l'érable n'en finit plus
de rougir
Je découvre votre blog et j'aime...beaucoup...
Amicalement
Jacques
Merci infiniment, Jacques. Votre blog est également bien séduisant.
SupprimerMême le vent s'intéresse à toi Danièle !
RépondreSupprimerVoilà pourquoi il vient pleurer .
Moi,je viens pour rire de joie, de te lire et de découvrir d'autres artistes .
Je t'embrasse . Yann
Voilà une visite qui me fait bien plaisir, Yann ! Je t'embrasse également.
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