D'abord une très belle photo. Bach et les harmoniques. L'oiseau ? Une polyphonie se chante à plusieurs. Ton haïku est-il réellement dans le concret vécu ? Connu ?
J'évoque les notes qui restent en suspens et s'évanouissent dans l'air. Celles qui restent au creux de l'oreille. Mais j'aurais pu écrire bien plus simplement :
D'abord une très belle photo.
RépondreSupprimerBach et les harmoniques.
L'oiseau ?
Une polyphonie se chante à plusieurs.
Ton haïku est-il réellement dans le concret vécu ? Connu ?
J'évoque les notes qui restent en suspens et s'évanouissent dans l'air. Celles qui restent au creux de l'oreille. Mais j'aurais pu écrire bien plus simplement :
Supprimerenvol de l'oiseau
quelques notes
vibrent encore
Ces troncs
RépondreSupprimercomme autant de bouches béantes
sur l'eau troublée ...
Jolis reflets et texte en harmonie ! Belle journée.
Et merci pour ce bel écho, saravati !
SupprimerOh la belle photo! Une rentrée époustouflante, Danièle!
RépondreSupprimerCertaines photos sont encore plus surprenantes que la vue réelle. Merci de ton passage, Monique !
SupprimerL'écho des petites vagues...
RépondreSupprimerContent de te retrouver
Plaisir partagé. Merci minik do !
SupprimerL'oiseau est revenu en pleine forme !
RépondreSupprimerBien à toi Danièle
Amitiés, Yanis.
SupprimerVibrant interaction of verse and image.
RépondreSupprimerThanks to you, Bill.
Supprimer__Fine photo/haiku Daniele!
RépondreSupprimerYes... this natural history of the river's deadfall, and can I sense the beat of wings... as a heron grasps the sky. _m
And this deadfall is an old ship wreck. Sometimes a heron, yes... Thanks, Magyar !
SupprimerBelle"illustration" de l'absence/présence. Aussi bien dans l'écrit que l'image.
RépondreSupprimerNotion pas toujours évidente à exprimer. Merci de ton passage, J. Amitiés.
SupprimerQue ce tableau est réussi, bravo!
RépondreSupprimerQuelques rides sur l'eau,
Traces de l'absent.
Merci, Colo ! Cette anse contenait en fait de nombreuses traces d'absences. Belle soirée.
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