KUKAÏ BRETON DU SAMEDI 15 FÉVRIER 2014
PRESQU'ÎLE DE SAINT CADO
Malgré la tempête qui s'est encore déchaînée dans la nuit du 14 au 15 février, le kukaï breton a été maintenu.
Profitant d'une embellie matinale, nous avons effectué la balade haïku (ginko) dans la presqu'île de Saint Cado,
après quoi nous avons partagé un repas à Locoal-Mendon. L'après-midi a été consacré au kukaï proprement dit,
qui s'est déroulé dans la bonne humeur, de 15 h à 18 h,
qui s'est déroulé dans la bonne humeur, de 15 h à 18 h,
en présence de Catherine Adam, Florence Houssais,
Marie Le Bail, Michel et Danièle Duteil.
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Certainement un beau coin avec beaucoup de ... souffles.
RépondreSupprimerOn ne manque pas d'air, ici ! Merci, Marcel.
RépondreSupprimerOh le bel album, merci de partager ici cette balade !
RépondreSupprimerJ'aime particulièrement ce duvet dans l'herbe, ces pas sans trace.
Merci, Tania. Ces kukaïs sont toujours d'excellents moments.
SupprimerNous avons passé une très belle journée et cet album en témoigne. Chaque kukaï doit avoir une atmosphère différente. Vivement le prochain.
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Florence. Heureuse que l'ambiance t'ait plu. Au mois de mars, alors !
SupprimerWell seen... and all walks can bring us home. Nice. _m
RépondreSupprimerMeeting for a kukaï after a ginko is always fine. Thanks, Magyar !
SupprimerBelle inspiration au souffle de la tempête. Bel album photos et haïkus
RépondreSupprimerNous ne manquions ni d'air ni de souffle. Merci, Monique !
SupprimerUn lieu que j'aime tout particulièrement et que mes pinceaux aiment traduire sur la feuille , mais je vois que les muses étaient aussi au rendez-vous et qu'elles ont accompagné ces courageux qui ont bravé le mauvais temps
RépondreSupprimerQue de beaux coins ici ! C'est bon pour l'inspiration. Merci de ton passage ! Amitiés.
SupprimerVoilà une balade rafraîchissante à la quelle je me serais joint avec bonheur (mes origines bretonnes).
RépondreSupprimerBelle journée
J'ai prévu un kukaï mensuel. Alors... Amitiés.
Supprimermerci pour ce carnet de voyage.
RépondreSupprimerEt merci de ton passage, Aliénor !
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