lundi 1 avril 2013

L'ECHO



L’écho de l’étroit chemin
Journal trimestriel en ligne
Association Francophone des Auteurs de Haïbun



J’ai le plaisir de vous annoncer que L’écho de l’étroit chemin N° 7 – MARS 2013 est en ligne.


Bonne lecture !


6 commentaires:

  1. Je viens de jeter un coup d’œil et de lire l'échange de lettres au sujet du haïbun. Intéressant.

    RépondreSupprimer
  2. Merci, Monika. Je dirais même très intéressant.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, très intéressant sur le plan de la connaissance du genre littéraire japonais du haïbun. Quant à savoir ce que ça signifierait éventuellement (si l'on pense qu'il faut l'importer tel quel) pour notre écriture du haïbun à nous, c'est une autre histoire. Je crois - provisoirement - que ce n'est pas évident (ni peut-être même souhaitable). Les haïjin contemporains du monde anglophone et germanophone m'ont l'air à s'être détachés d'une stricte "observance" du modèle classique japonais qui ne correspond probablement plus, de toute façon, à notre façon de vivre dans le monde et de le voir et écrire.

      Supprimer
    2. Je suis d'accord avec toi, Monika, il n'est ni possible ni souhaitable sans doute pour nous, Occidentaux,de vouloir imiter les modèles japonais. Pas plus que pour les Japonais contemporains de continuer à calquer les écrits des Anciens. Les explications données par Seegan Mabesoone sont surtout essentiels à une bonne lecture du haïbun d'Issa. Je dois dire que ce texte m'a tout d'abord déroutée.

      Supprimer
    3. En effet. Le plus déroutant étant sans doute son affirmation que la caractéristique principale du haïbun ne serait pas l'alternance prose - haïku/senryû, mais une alternance de style à l'intérieur de la prose. Un haïbun sans haïku... C'est la première fois que j'entends parler de ça.

      Supprimer
    4. Je m'aperçois que j'ai laissé une "belle" faute dans mon commentaire précédent --> "essentielle".

      C'est surtout la lecture du journal d'Issa qui m'a déroutée. Pour le reste, je conçois qu'un haïbun puisse ne pas comporter de haïkus puisque son essence semble résider dans le mélange VOULU de styles.
      On peut imaginer, de la même manière, des haïbuns comportant des passages en prose poétique particulièrement travaillée et des passages en prose relevant du langage courant.

      Supprimer